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Le dernier film que vous avez vu


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J'en ai aucune idée, selon moi rien ne justifie de le voir tant de fois, surtout à la longueur que ce film a...

1x au cinéma pour dire ô combien les SFX sont révolutionnaires, passe encore.

Mais après...

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Fargo des frères Coen!

C'est l'histoire d'un type qui fait affaire avec deux autres types.

Vraiment excellent, ça campe l'univers des réalisateurs et les acteurs jouent au poil.

5/5

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J'ai revu Le Directeur de Lars Von Trier l'autre jour, je trouve ça encore pissant. La scène de sexe est d'une absurdité.

Choses que je ne comprends pas, les nombreux changements d'éclairage durant les scènes, le défilement très très légèrement saccadé des plans comme si chaque parcelle de dialogues avait dû être repris.

Gambini est un génie.

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J'ai revu Le Directeur de Lars Von Trier l'autre jour, je trouve ça encore pissant. La scène de sexe est d'une absurdité.

Choses que je ne comprends pas, les nombreux changements d'éclairage durant les scènes, le défilement très très légèrement saccadé des plans comme si chaque parcelle de dialogues avait dû être repris.

Gambini est un génie.

Quel film !

En Bref: C'est un manager d'entreprise qui n'a jamais eu le courage d'avouer à ses employés qu'il en était le directeur. Il jouis d'un statut d'employés qui fait l'intermedière avec ce mystherieux PDG qui n'a jamais été vu. comptant vendre son entreprise, Il engage un acteur au chomage pour jouer le rôle du directeur et vendre l'entreprise. Peu à peu, le comédien, de part son rôle prendra conscience de la façon dont le patron traite ses employés.

Dès le départ, le ton est donné : le metteur en scène intervient lui-même pour expliquer le mécanisme de son film. Ouvertement, il fait remarquer son zoom ingrat et le fait que l'on voit son reflet dans la vitre. Cette naration des plus honnête installe une sorte de climat qui donne une âme au film.

Lars Von Trier s'est risqué à utiliser un ordinateur qui décidait du cadrage aléatoirement après celui choisi initialement. Il me semble...

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(modifié)

Until the End of the World - Wim Wenders (1991)

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J'ai pas vu du Wim Wenders depuis 2003 donc j'ai décidé de m'y remettre et je n'ai pas du tout été déçu. Le pitch de départ fait pas mal sci-fi avec cette histoire satellite nucléaire qui menace de détruire le monde à tout moment et d'espionnage industriel mais bon le film s'en éloigne pas mal rapidement et le tout est centré sur les personnages à la recherche de leurs propres bonheurs personnels. Donc, ce n'est pas un thriller mais plus un road movie futuriste décalé avec quelques moments dramatiques. Personnellement, j'ai crissement embarqué dans le film et ça fait longtemps que ça m'avait pas fait autant de l'effet. L'ambiance est géniale(surtout la dernière partie pas mal space) la musique Graeme Revell est excellente, Wim Wenders livre de très beau plans (surtout de l'Australie) et niveau performance des acteurs, Sam Neill est excellent dans le rôle de l'écrivain et du narrateur de l'histoire.

Sinon je ne sait pas ce que vaut la version cinéma mais c'est le director's cut qui dure pas loin de 5h que j'ai vu.

9/10

Modifié par The Eternal
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Rouges et blancs (Csillagosok, katonák)

réalisé par Miklós Jancsó

Film hongro-soviétique datant de 1967.

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Synopsis:

Rouges et Blancs se déroule en 1917, sur la frontière entre la Russie et l’Autriche-Hongrie. Les régiments bolcheviques, qui comptent dans leurs rangs de nombreux volontaires hongrois, sont décimés et pourchassés par l’armée tsariste, en une longue suite d’exécutions et de chasses à l’homme à travers les plaines et les forêts. Un groupe de fuyards Rouges trouve refuge dans une infirmerie de campagne, tandis qu’au loin le rapport de force se retourne en faveur des révolutionnaires.

Du brut! Pas beaucoup de blah blah, pas d'héroïsme nauséabond, pas d'idées pré-mâchées... On se retrouve parfait spectateur. On ne nous dit rien, c'est à nous de coller les morceaux. Parfois incompréhensible et illogique, à l'image de la guerre qui nous y est montré... Captivant!

09-csillagosok.jpg

__________________________________

Un pur coup de '' :heart: ''

L'enfance d'Ivan (Иваново детство)

réalisé par Andreï Tarkovski

Film russe de 1962.

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Je ne vous donne pas le synopsis et vous déconseille fortement d'essayer d'en trouver un...

Tout les synopsis que j'ai pu si sucent comme ceux d'un film de Jean Claude Vandame... Mais surtout, il faut vous laisser découvrir le personnage d'Ivan.

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Sinon, j'ai adoré! Les images sont d'une telle force et d'une telle beauté...

Tantôt poétique, tantôt psychédélique.

Ivan, surtout au début, est déroutant...

Tantôt angélique, tantôt possédé un esprit vengeur.

Que dire? C'est Grandiose!

:rolleyes: :

Je m'avoue séduis par la scène de baiser...

Si j'avais un classement, ca serait dans un top 7 à coup sure.

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1min35sec.

Non ?

Remarque:

Nul doute que ce film ait inspiré Requiem Pour un Massacre(Que je m'use a recommander dès qu'une occasion se présente).

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Imaginez un mélange entre Apocalypse Now (Francis Ford Coppola, 79) et L'enfance d'Ivan (Andrei Tarkovski, 62) qui surpasse ces deux modèles imposants. Imaginez une représentation inédite de la folie des hommes dans un contexte barbare, perçue à hauteur d'enfant. Imaginez un long métrage russe tourné à la Steady Cam et inconnu au bataillon dont une simple vision suffit pour marquer à vie. Avec Requiem pour un massacre (Come and see), Elem Klimov a fait très fort. A tous les niveaux. Que ce soit dans la mise en scène ou la direction des acteurs, il a atteint des qualités d'épure uniques.

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J'reviens tout juste du cinéma, j'suis aller voir le remake de A nightmare on Elm Street. Que dire? J'ai capoté, le fan finit de Freddy en moi en a eu pour son argent (même si techniquement, c'est Ambrosia qui a payé mon billet...). Le film est très différent de l'orignal et je dois dire que c'est vraiment pour le mieux. J'ai eu l'impression que tout était mieux, de l'histoire aux décors en passant par les personnages. Oui il y a des clichés, c'est évident, que serait un film d'horreur sans cliché? Mais ici, ils sont bien utilisés. Jackie Earle Haley offre une performance plus qu'acceptable dans le rôle du très célèbre tueur d'enfant. La réalisation de Samuel Bayer nos donne de très belles images et des scènes assez originales, mêlant habillement rêve et réalité. Bref, c'est vraiment un remake qui vaut le détour, vous ne risquez pas d'être déçu.

9/10

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En cinéma aujourd'hui, on a vu Fight Club. C'était la troisième fois pour moi et je commence à me dire qu'il faudrait bien que je lise le livre.

Ce weekend sinon, j'ai regardé Plan de match. Une comédie typiquement hollywoodienne avec The Rock qui jouait dedans. Les trucs intéressants du films ? The Rock ... et le football. Ça remplissait sa fonction de distraction du samedi après-midi avec des blagues faciles et prévisibles.

Puis j'ai regardé Watchmen. Je m'incline. Ce film est encore plus divin que ce que j'avais imaginé.

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Ça fait longtemps que j'ai pas posté ici, notamment parce que "tout ce que vous dites pourra et sera retourné contre vous", mais je me lance avec un film danois des années 40 (lolll).

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Day of Wrath

Carl Theodor Dreyer, 1943

Les films de Dreyer n'ont jamais été exactement "grand public", en majeure partie parce que les thèmes qu'il aborde n'intéressent que peu de gens, mais surtout parce que son style est froid, lent et assez pesant. Je l'ai découvert avec son chef-d'oeuvre "Vampyr", que j'ai dû regarder trois fois avant d'apprécier pleinement, et je m'attaquais à "Day of Wrath" en m'attendant à quelque chose d'extrêmement drabe. Je sais pas si j'étais dans le bon "mood" pour recevoir le film, ou si j'étais particulièrement réveillé, mais toujours est-il que j'ai beaucoup aimé et que je n'ai senti aucune lourdeur.

C'est loin d'être un "feelgood movie". La photographie est très sombre, les thèmes aussi, il n'y a aucun "comic relief". Les histoires d'inquisition ne m'ont jamais vraiment rejoint, mais sur ce coup-là, la réalisation était si habile et le jeu des acteurs tellement dans le bon ton que j'ai accroché d'un bout à l'autre. J'ai hâte de voir comment ça se compare avec le reste de sa production.

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Peux tu m'expliquer en quelques mots à peine comment on peut retrouver ceci au cinéma ?

En cinéma = En classe de cinéma, je pense.

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J'ai écouté Les hommes qui regardaient les chèvres que j'ai bien aimé. J'ai aussi vu Où sont passés les Morgan?, une comédie légère très nulle. Moi qui croyait que l'appréciation que j'ai d'un film était inversement proportionnelle à sa note sur CinémaMontréal, j'ai été supris de voir qu'il a reçu un 4 point quelques sur 10!

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Le dernier film que j’ai vue c’étais « yellow submarine » des Beatles, mais supposément que c’étais pas d’eux..Peu importe, l’histoire est basée sur des chansons des Beatles..

C’était la première fois que je le voyais et j’ai adorée !

beatles-yellow-submarine-characters.jpg

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Witness - Peter Weir. Un petit Amish est témoin d'un meurtre dans les toilettes d'une gare, les méchants veulent sa peau. Le début est cool, le contraste entre les Amish et la modernité mais après, c'est juste emmerdant, des flics qui s'entretuent, des gens qui s'aiment alors qu'il faut pas s'aimer, etc.

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(modifié)

Cure - Kiyoshi Kurosawa (1997)

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Bien aimé et au niveau du rythme c'est pareil que Kairo c'est à dire très lent) mais l'ambiance bizarre et envoutante est pas mal réussie et au niveau scénario, l'histoire est basé sur un détective qui enquête sur des meurtres en série d'on le tueur est un pro de l'hypnose subjective. Bref rien de très original sur papier mais c'est bien réalisé.

7.5/10

Millennium 3 - Daniel Alfredson (2009)

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Le pire de la série. C'est lent et très laborieux, il ne se passe pas grand chose et ça fait trop télévisuel. Et c'est une bonne chose que cette trilogie de fasse adapter par Hollywood (ça va donner plus de rythme et plus d'ampleur à une trilogie très moyenne ) surtout que le premier va être réalisé par nul autre que David Fincher.

4/10

Modifié par The Eternal
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North by Northwest, Alfred Hitchcock

Mon premier Hitchcock à vie. Je vais avouer que je m'attendais à mieux. Je veux dire, c'est un bon film, mais, lorsque le générique a commencé à se dérouler, j'ai eu le sentiment qu'il manquait quelque chose... mis à part lorsqu'on apprend qu'Eve travaille du côté des vilains, je n'ai ressenti aucun thrill. Je m'attendais à meilleur suspense que ce dont j'ai l'habitude de voir. Toutefois, ça a sorti en 1959 et, si je compare aux autres thriller de cette période qui m'ont été donné de voir, c'est carrément meilleur, et ce, sur tous les aspects du film.

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Goodfellas, Martin Scorsese

Rangé en quatrième position selon ce que j'ai vu du réalisateur (le premier étant Taxi Driver, le deuxième étant The Departed puis le troisième étant The Last Temptation of the Christ). Un autre gros film de Scorsese qui ne fait qu'accroître mon admiration pour le réalisateur. Un bon drame sans longueur, réalisé à la quasi-perfection, bien interprété et tout et tout. Je ne m'éterniserai pas à décrire ce qui a été dit à maintes reprises sur le film.

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Reservoir Dogs, Quentin Tarantino

Le Tarantino que j'ai le moins aimé, et pourtant... ça reste un bon film.

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2001: A Space Odyssey, Stanley Kubrick

Une de mes plus grosses lacunes vient tout juste d'être rayée de la liste. Mon appréciation du film est assez partagée: d'un côté, comme probablement 90% des membres qui l'ont vu ici, je l'ai trouvé très... loooOOOoooOOoong.

Puis, de l'autre, après mon visionnement, j'en conclus que c'est, de tous les films que j'ai pu voir en seize ans d'existence, le mieux fait. Je veux dire que c'est le film avec la meilleure réalisation que j'ai vue. Les plans, l'esthétisme (sorti en 1968, assez impressionnant): TOUT y est! À ça s'ajoute des acteurs qui jouent leur rôle à la perfection, des scènes comiques (je pense entre autre à Carl qui chante « Daisy Bell »), etc.

Un film qui m'a ennuyé et ébloui.

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Je sais pas trop comment prendre ce film. C'est une copie un peu cheapos de 2001, où on retrouve l'équivalent de HAL mais en plus smath. J'avais pas l'impression que le film était réellement original dû à cette inévitable comparaison.

Ceci dit, Sam Rockwell est plutôt excellent et parvient à nous donner une impression de claustrophobie dans sa base lunaire de marde.

J'irais pour 3 pop-corns et demi sur 5.

p.s: je suis un peu en retard, mais Pin j'aimerais que tu développes sur les films 25th Hour, Eternal Sunshine et surtout Blue Velvet. Je me demande simplement qu'est-ce qu'on peut leur reprocher pour les détester autant.

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