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Le sujet dont tout le monde se câlice


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Je suis en tabarnak, une de mes collègues est fâchée après moi et ma copine. Nous avions un party de ... Et mon amie a perdu la carte et moi j'ai dit mes vérités qui ont étonnamment bien passé puisque mon cellulaire continue de sonner. Mais madame qui n'a assisté qu'à la moitiée de la fête ne cessée de se plaindre, j'ai envie de tuer. Fuck notre esti de coop, j'préfère encore être seule ...

Selon elle, je devrais représenter toutes les femmes, alors que selon moi, j'ai bien assez de me représenter seule.

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Je viens de me booker un hotel au centre-ville de Montréal, a quelques rues de chez moi, parce que la construction vient de péter mon conduit d'eau, j'suis sensé faire comment pour travailler sans pouvoir prendre de douche, wtf. J'suis en beau maudit. Belle dépense inutile.

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c'est un peu l'équivalent du "schtroumpher" pour les Schtroumphs, tu peux l'appliquer à bien des sauces. mais habituellement ça va signifier "se foutre", "se ficher" ou "foutre", "mettre", dans un contexte où tu n'es pas content.

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j'ai une question ce calicer ca veut dire quoi ???

desolé je suis francais

En fouillant sur les origines du phénomène, on apprend que nos ancêtres français utilisaient depuis le lointain moyen âge l’invocation de Dieu ou de la Vierge comme exutoire lors d’emportements verbaux ou de moments de frustration.

Ainsi, aussi loin que de l’époque de Louis 1er (826) à Louis XIV (1666), les jureurs ont toujours été harcelés par les ordonnances royales, qui imposaient des châtiments très sévères contre eux : amende pécuniaire, mutilation corporelle et souvent, la condamnation à mort! Devant la rigueur de ces lois, les Français ont plutôt appris à transformer les «corps Dieu», «mort Dieu», «ventre Dieu» en camouflant ces mots en dérivés de jurons, ce qui donnait des «jarnicoton», «morbleu», «ventre saint-gris», etc.

Faut-il rappeler que le 2e commandement de Dieu dit : «Tu ne prononceras pas le nom du Seigneur ton Dieu en vain», et que les enseignements religieux nous incitaient au plus grand respect «des choses de Dieu». Ainsi croyait-on que le fait de blasphémer pouvait entraîner la colère de Dieu et nous exposer à tous les malheurs.

À leur arrivée en Nouvelle-France, nos ancêtres ont donc conservé les mêmes habitudes!

Au début des années 1800, les mots «Dieu», «nom de Dieu» et «baptême» continuent d’être utilisés, souvent accompagnés de «maudit» ou de «sacré». Ces jurons se sont répandus et on s’en offusque moins. La situation change après la rébellion des patriotes, au cours des années 1840.

Tout porte à croire que le foisonnement des chantiers forestiers qui occupaient tant d’hommes l’hiver aurait été une source d’éclosion de cette pratique de langage charretier, où les nouvelles formes de sacres donnent une place importante aux objets liturgiques.

Vers 1920, le juron «hostie» apparaît et coïncide avec une augmentation de la pratique de la communion.

Jusque dans les années 1950, l’Église considère la pratique du blasphème comme l’un des péchés capitaux des Québécois.

Modifié par Fünfzig Nachricht
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J'ai eu 220$ d'amende parce que j'ai bu une bière achetée au dépanneur à l'extérieur du site du festival d'été (site plein). Il y avait à peu près 20 personnes qui le fesait autour. Genre à 3 m de la barrière...

Abusé. Même pas d'avertissement...

Modifié par MrSandMan
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