Chicken of the infinite 2 décembre 2010 Partager 2 décembre 2010 Je trouve ta prose magnifique. Ça m'a touchée.Par contre, je retravaillerais la fin, ça vient carrément briser le charme.----------------------------------------------------------------------------------------------------------Combien de fois ai-je imaginéCe visage candideAu passéAu présent j'ai oubliéDe t'oublierCombien de fois me suis-je repasséTa solitude?T'ai-je aimé?Ne suis-je pas le souffre douleurDe ton souvenirQue j'ai gâté?Au futur caustiqueoblitérée.http://www.youtube.com/watch?v=cKpUjssa3v8 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MackBlack 10 décembre 2010 Partager 10 décembre 2010 J'avais envie de faire dans la gangsta shit.---*Clikétique*T'entends ce son, le marabout?Fermes ta gueule d'éclectique.Prends ton trou. Tel un neg marron,Tu cours le marathon.Ta djole débordante de ma semencePendant que ma graine, dans ta mère, devient dense.Vraiment, tu pensais faire fureur?Tu t'es fait devancer par un violeurPOW! POW! POW!Tu t'écroules, tu chignes, je te dis ciao. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 10 décembre 2010 Partager 10 décembre 2010 Quand je sort du bainDe l'eau coule de mon vagin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MackBlack 10 décembre 2010 Partager 10 décembre 2010 Quand je sort du bainDe l'eau coule de mon vagin.Mon pénis, lorsque bien durN'arrête devant aucune bordure Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 11 décembre 2010 Partager 11 décembre 2010 Un petit garçonAu ventre rondSe targue d'être pionPour un cornichonUne petite fillePrécieuse et gentilleMontre son caleçonPour un cornichonPapa siffleMaman cuisineLe cousin, la cousineLes enturlupinent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Humbert Humbert 12 décembre 2010 Partager 12 décembre 2010 J'avais envie de faire dans la gangsta shit.---*Clikétique*T'entends ce son, le marabout?Fermes ta gueule d'éclectique.Prends ton trou. Tel un neg marron,Tu cours le marathon.Ta djole débordante de ma semencePendant que ma graine, dans ta mère, devient dense.Vraiment, tu pensais faire fureur?Tu t'es fait devancer par un violeurPOW! POW! POW!Tu t'écroules, tu chignes, je te dis ciao.Est-ce que c'est une blague? Sans doute.Mais même considéré sous cet angle, ça reste de la marde. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MackBlack 12 décembre 2010 Partager 12 décembre 2010 Est-ce que c'est une blague? Sans doute.Mais même considéré sous cet angle, ça reste de la marde.Échec et mat!Oui, c'était une grosse blague bien merdique, je te l'accorde. Je m'amusais, avec un camarade, a écrire du gros n'importe quoi sur msn et j'ai pondu ça. J'ai voulu partagé mon oeuvre. Tu ne m'en veux pas trop d'avoir été pris de cette diarrhée littéraire? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alf 12 décembre 2010 Partager 12 décembre 2010 "Ta djol". Tu es le nouveau Dany Laferriere. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ChokingDog 13 décembre 2010 Partager 13 décembre 2010 (modifié) J'écris comme je jappeLa faute à la télocheMa langue est engourdieLa faute à la seloche (sloche)Clébard qu'une voiture happeLa faute à la seloche (sloche)Nul n'est attendriLa faute à la téloche...Dernière fois que j'écris ici. Juré. Modifié 15 décembre 2010 par ChokingDog Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Monsieur Y 13 décembre 2010 Partager 13 décembre 2010 on a des artistes!joli certains de tes textes chicken of the infinite!J'ai perdu ce que j'écrivais quand j'ai changé de pc, mais j'arrive plus à ecrire de poésie j'ai perdu ma sensibilité dans ce monde hostile et froid héhéPar contre je m'amuse à écrire quelque petits machins si j'arrive à en trouver un qui me plait et si j'y pense j'en posterait une partie ici!J'aime beaucoup etre imaginatif et original, j'espère trouver un jour la motivation de mettre à lecrit certaines nouvelles que j'ai en tête! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Porthos 15 décembre 2010 Partager 15 décembre 2010 Quand je sort du bainDe l'eau coule de mon vagin.DISTIQUES AQUAPHILIQUESL'eau de la fontaineCoule sur ma graine*L'eau du robinet mouilleMon vit mon cul mes couilles*Quand il pleut la flotteEmplit ma culotte 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Porthos 24 janvier 2011 Partager 24 janvier 2011 À la finSéraphinFort raviMit son vitDans la mainD'un bambin Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ninchat 4 février 2011 Partager 4 février 2011 Belle de BrilletAssèche ma gorgeAssèche ma peauQue je revive dans ta sèveDorée Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 7 février 2011 Partager 7 février 2011 Mouche d'hiverPetite cachotièreMouche d'hiverMouche d'hierQuel éteignoir?Le mouchoir. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Esch 8 février 2011 Partager 8 février 2011 (modifié) J'aime te toucher, bébé.Je pense à ces moments, miel. Où nous étions ensemble, sucre. Nous vivions intensément, chérie. Comme deux vrais aImants, oui.Je mens, je meurs, je pleure.Bébé. Modifié 8 février 2011 par Eschyle Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 10 février 2011 Partager 10 février 2011 Salade de fruitsFemme fatale troubleL'encéphale doubleDoublementDouloureuxDoucereuxUn diamant dionysiaqueUn calmant aphrodisiaqueUne pommeUne poireUne matraque--------------------------Immersion totaleDans un cubiculeAu rivage Du ridiculeJ'évolue sans peineNon pas sans misèreProcession malsaineIvresse délétèreJ'ai perdu le tempsÉchappé un momentJ'ai perdu une feuilleEffleuré un mouvementJe glisse sur le deuilDe mes plus jeunes tourmentsInnocents.------------------------------Insidieusement sans tactTu me dévisagesViol focal au détourDans un mirageJ'ai ouvert la porteDégagé l'aorteL'étranger passeLe copain trépasse------------------------------Il est étrange de constaterTâter un con est étrangeIl est formellement inutileD'halluciner le firmamentSoit-il beau?Soit-il grand?Est-il utile allégrement?Futilement et ridiculeQuand cesse le gesteDénigrement------------------------------------J'oserais m'imaginerEnracinée dans le silenceUne nuée d'imagesFascinées par l'absenceD'une moitiéFranchement inexistanteIl est inutile désormaisDe s'y étendre. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CitizenCIA 11 février 2011 Partager 11 février 2011 Gin Tonic avilissantSifflant sur les méandres d’un temps révoluOserais-je entendre l’histoire à l’horizon?Le récit des cendres dispersées dans l’absoluOù j’observais pendre au loin cette trahisonLorgnant sur la lune, je boudais la raisonSouillant mes lacunes, j’enviai l’inconnuProfane de ma censure, subjugué de passionQui m’envoie sur le mur où j’aspire à mon dûQuand, invraisemblable, la frénésie jaillitIre intolérable, saccageant le whiskyPreuve illusoire d’une maternité pasticheAffublé de terreur, et d’un front libertinJe m’engage en son cœur, par un détour sans finChimère masturbatoire, malgré moi je m’entiche 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fulgore 19 février 2011 Partager 19 février 2011 Belle de BrilletAssèche ma gorgeAssèche ma peauQue je revive dans ta sèveDoréeC'est simple et magnifique o_o Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jambonneau 28 février 2011 Partager 28 février 2011 Le poète a la vie au bout des doigts, fébriles et tremblants, suspendus au dessus de sa feuille, hésitants. Son verbe se délie, ses mots se lient, il se construit sur le papier une autre personnalité. La vie s’écoule par ses extrémités, pris dans son élan il ne peut s’arrêter de peur de cesser d’exister. Son imagination est son tourment chuchotant bas à son oreille. La mitraille de l’esprit épanche son fluide vermeil. Il se presse de la faire taire, insupportable son heurtant sa chair. Il trace et efface les traces de cette farce, qui passe en coulant le long de ses tempes ruisselantes. Frénétique messe de la vie, il confesse son esprit, fait taire ces voix et sonne le glas de la folie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jambonneau 28 février 2011 Partager 28 février 2011 l'écho de sa voix ride mes pensées alors que je m'entête à le répéter. Les souvenirs affluent s'affutent et chutent sur ma tête nue.tu me fascines, quatre syllabes sibyllines.paroles prometteuses, émissaires d'une affection ancrée dans sa chair.ma langue ondule de plaisir, se délecte de ces trois mots, chavire, ne trouve le repos.son visage se dessine derrière mes paupières closes, me hante, tournoie, ne se pose.l'appel de la chair est assourdissant, il hurle aux portes de mon esprit, m'emporte dans sa frénésie.le désir naissant déferle et balaye les derniers pans de raison alors que sonne et résonne ce son : tu me fascines. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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